Il y a plusieurs sujets que je voudrais aborder, et je vais, comme d'habitude, le faire pêle-mêle. Le ralentissement et l'homogénéisation des surfaces d'abord. On a enfin une source statistique exhaustive ici , qui montre assez clairement que, depuis 1990, le jeu n'a pas été ralenti par les changements seuls des surfaces, mais aussi qu'il n'y pas vraiment eu d'homogénéisation. Il faudrait arrêter avec les foutaises. Ces données, avec les explications disponibles dans cet article , sont suffisantes pour ne plus perpétuer le mythe de « l'uniformisation des surfaces » qui permettrait à deux ou trois joueurs de dominer le tennis mondial. C'est leur travail de perfectionnement, l'universalité de leurs talents, et leurs caractères indomptables qui ont permis leur réussite, pas un changement d'herbe à Wimbledon, ni un peu plus de sable dans la couleur des revêtements. Ce n'est pas la seule raison pour laquelle ce texte de Peter Bodo est une...
Avec les fans, on sait à quoi s'attendre. Alors qu'avec les experts...